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Presse quotidienne
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LAUNET Edouard
« Gauchisme. Tombés pour les maos »
Libération, 18 novembre 2008, pp. 38-39 [Grand angle].
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Christophe Schimmel s'est engagé à l'âge de 15 ans dans la Gauche prolétarienne. Et lui a tout donné. Aujourd'hui sans emploi, dépressif, il vit dans l'amertume et fait partie de ceux qui n'ont pas supporté la dissolution de l'organisation maoïste. D'autres en sont morts.
Quarante ans après Mai 68, que sont devenus les «soldats perdus» de la Gauche prolétarienne ?
Quelle a été la trajectoire de ceux qui ne se sont pas remis de la dissolution en 1973 de cette organisation maoïste née dans le sillage des événements de Mai, et qui fut à l'origine du journal que vous avez entre les mains ?
Le parcours de Christophe Schimmel en donne une idée.
Partons d'une image : celle qui montre Jean-Antoine Tramoni, agent de sécurité chez Renault, tirer de sang-froid sur l'ouvrier maoïste Pierre Overney. C'était le 25 février 1972, à 14 h 30, à l'usine de Boulogne-Billancourt. Christophe Schimmel, 18 ans à l'époque, était devant les grilles de l'avenue Émile-Zola avec d'autres militants de la Gauche prolétarienne. Photographe, il a capté toute la scène avec son Seagull, mauvaise copie chinoise de Rolleiflex. (...)
ZAPPI Sylvia
« Yves Rocton. Syndicaliste de Force Ouvrière et militant trotskiste »
Le Monde, 14 octobre 2008, p. 20 [Carnet].
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Nécrologie de Yves Rocton, décédé le 27 septembre 2008.
"Yves (dit Yvon) Rocton, ancien syndicaliste de Force ouvrière et militant trotskiste, est mort, samedi 27 septembre, à 70 ans. Né le 19 mai 1938, il s'était fait connaître pour avoir fait voter la première occupation d'usine en Mai 1968 [Sud-Aviation, à Nantes]. (...)"
FOUREST Caroline
« Le féminisme pour les nuls »
Le Monde, 10 octobre 2008, p. 30 [Carte blanche].
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[Caroline Fourest est essayiste et rédactrice en chef de la revue Prochoix]
Extraits :
Une douce OPA s'opère sur le Mouvement de libération des femmes. La semaine dernière, Le Parisien et Ouest-France annonçaient "les quarante ans du MLF"... Avec deux ans d'avance. Stupeur chez les féministes. Seraient-elles guettées par la maladie d'Alzheimer ? Serions-nous déjà en 2010 ? De l'avis des historiennes comme des militantes, les "années mouvement" remontent à 1970. Des féministes étaient bien à l'oeuvre parmi les activistes de Mai-68, mais leurs préoccupations, n'était la priorité du mois de mai, surtout pas celles de leurs camarades garçons. Il faut attendre 1970 pour assister à un mouvement revendiquant la libération des femmes à travers une série de temps forts collectifs : réunion à la faculté de Vincennes, dépôt de gerbe à la femme du "soldat inconnu" et numéro de la revue de Partisan proclamant "Féminisme : année zéro". Mais alors pourquoi cette précipitation et pourquoi certains médias datent subitement l'acte fondateur du MLF un 1er octobre 1968 ? Cette date ne correspond à rien... si ce n'est à l'anniversaire d'Antoinette Fouque. Aussi comique que cela puisse paraître, cette ancienne députée européenne, fondatrice des Editions des femmes, croit se souvenir avoir abordé la question avec deux amies le jour de son anniversaire en 1968... Ce qui en ferait l'une des "fondatrices" du MLF. (...) Le seul fait que ce canular médiatique fonctionne en dit long sur la méconnaissance, voire le mépris envers l'histoire du féminisme, jugée secondaire. Rappelons cette vérité simple : personne n'a fondé le Mouvement de libération des femmes. On ne décrète pas un mouvement social, surtout composé d'une telle multitude de courants et de groupes. Antoinette Fouque et son courant n'étaient qu'une composante parmi d'autres de ces "années mouvement" (cf. le livre de référence de Françoise Picq). (...)
VAULERIN Arnaud
« Le poids des années de plomb »
Libération, 9 octobre 2008, p. V [Cahier Livres].
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L'assassinat du commissaire Calabresi, en 1972, raconté par son fils journaliste.
[Critique de l'ouvrage Sortir de la nuit, une histoire des années de plomb, de Mario Calabresi, Paris, Gallimard, 2008]
Des femmes du mouvement de libération des femmes (non déposé, ni "co-fondé")
« L'héritage féministe détourné »
Libération, 7 octobre 2008, p. 36 [Rebonds].
PICQ Françoise
« MLF : 1970, année zéro »
Libération, 7 octobre 2008, p. 36 [Rebonds].
MONGAILLARD Vincent
« "Globalement, les femmes s'en sortent bien". [Entretien avec Antoinette Fouque] »
Le Parisien - Aujourd'hui, 1er octobre 2008, pp. 14-15.
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Pour "les 40 ans du MLF", entretien avec Antoinette Fouque, "cofondatrice du Mouvement de libération des femmes en 1968".
L'article est accompagné de quatre encadrés :
- Le mot du jour : MLF
- Voix express : Pour vous, les hommes, que doivent encore conquérir les femmes ?
- "On veut pas être mieux, on veut être pareils!". Entretien avec Wafaa, 20 ans, étudiante à Tolbiac
- Ce qu'elles ont acquis depuis 40 ans
DELAPORTE Ixchel
« Ne jamais baisser les bras. Bouillonnement intellectuel et militant, musique et bonne bouffe... Tous les ingrédients étaient réunis aux Amis de l'Humanité pour fêter Mai 68. »
L'Humanité, 15 septembre 2008, p. 11.
MATHIEU Clotilde
« Jeunes de 68, jeune de 2008.Soirée stimulante, vendredi à l'agora de l'Humanité par les regards croisés de deux générations. »
L'Humanité, 15 septembre 2008, p. 5.
RAYNAL Alain
« Mai 1968 joue les prolongations à la Fête [de l'Humanité] »
L'Humanité , 12 septembre 2008, p. 5.
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Dès ce soir à l'Agora et aux Amis de l'Humanité, les mémoires et vécus du plus puissant mouvement de l'histoire ouvrière occupent la scène.
ANDREU Pierre
« Jean Vilar, Bernard Lavilliers, Bernard Dort, Jean-Pierre Chabrol et compagnie »
L'Humanité , 29 août 2008, p. 20 [68, votre mémoire au pouvoir].
PINAUD Jacques (Seine-Saint-Denis)
« Y aura-t-il du monde à la manif ? »
L'Humanité , 28 août 2008, p. 20 [68, votre mémoire au pouvoir].
SOUESME Annie-France (Seine-Saint-Denis)
« Interdit d'être en pantalon ou court vêtue »
L'Humanité , 27 août 2008, p. 20 [68, votre mémoire au pouvoir].
UGOLINI Sixte (Haute-Corse)
« Un défilé derrière le barreau »
L'Humanité , 27 août 2008, p. 20 [68, votre mémoire au pouvoir].
[pas de mention d'auteur]
« "Sur les pavés..." 1968-2008, Les artistes dans la rue »
L'Humanité, 26 août 2008, p. 13.
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L'exposition centrale de la Fête de l'Humanité propose une centaine d'œuvres en version originale. Certains des artistes présents interviendront également au hasard des allées. De l'art en liberté.
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